ESIS

Une bonne école d’audiovisuel à taille humaine, où tout le monde se connaît et où on ne se sent pas comme un simple numéro. Les intervenants sont à l’écoute, passionnés, et prêts à nous accompagner dans nos projets. On a accès à du bon matériel pour réaliser nos courts-métrages, ce qui nous permet de vraiment progresser.

Je suis actuellement en deuxième année en bachelor cinéma à l’ESIS. Comme dans toutes les écoles, il y a des problèmes, mais l’équipe reste à l’écoute et on sent qu’ils cherchent à améliorer les choses. L’école propose généralement du bon matériel, et les projets concrets permettent de progresser. C’est une petite école, ce qui rend l’ambiance agréable et familiale. Tous les intervenants que j’ai eus sont passionnés, gentils et investis dans leurs cours.

Très déçue par les portes ouvertes de l’école ESIS. L’organisation était loin d’être au point : il a fallu demander trois fois avant qu’on accepte enfin de nous faire visiter les salles. On se sentait de trop, comme si tout n’avait pas été prévu pour accueillir les visiteurs. La conférence manquait de naturel, on aurait dit un spectacle mal préparé, sans authenticité. Mais ce qui m’a le plus interpellée, c’est la mention dans le règlement intérieur interdisant le port de signe religieux au nom de la laïcité. La France de Macron Dans les métiers artistiques, on s’attend à un minimum de tolérance et de liberté individuelle pas à des restrictions qui frôlent l’absurde. L’ambiance générale donne aussi une impression très rigide, presque militaire. J’ai eu le sentiment qu’on valorisait plus les règles strictes et les cadres oppressants que l’expression personnelle. J’ai aussi perçu une forme d’idéologie très marquée, comme si l’école baignait dans un esprit "start-up nation" à la Macron, où l’on pousse les élèves à bout sous prétexte de rigueur professionnelle… avant de leur proposer des week-ends de "bien-être" et des séances de yoga pour compenser. C’est presque cynique, et franchement ridicule. Bref nous n’étions pas la cible mais mention spécial au petit buffet 🙂

Une école qui n’est pas sans défaut évidemment, mais avec des professeurs absolument passionnants et du matériel de très bonne qualité ! Une ambiance presque familiale qui nous permet de faire nos premiers contacts dans le monde du cinéma.

L'ESIS est une très bonne école pour tous ceux qui veulent se lancer dans le cinéma, les VFX, le son ou la musique. L'enseignement est à la fois technique et créatif, et les équipements sont de qualité professionnelle. Les intervenants, passionnés et expérimentés, offrent un suivi personnalisé qui prépare vraiment bien aux métiers du cinéma. Si vous cherchez à allier pratique et théorie, c'est un excellent choix !

Très bonne école, chaleureuse et à taille humaine. Les intervenants sont tous des professionnels ce qui est rassurant et l’équipe administrative est à l’écoute des étudiants.

ECOLE À FUIR ! Constatant que mon avis Google précédent a été non publié, je réitère mon opinion que j'ai sur cette école de manière plus tempéré, non sans dégoût que j'éprouve envers elle. Je vais résumer point par point ce qu'il ne va pas : L'ESIS vous promet une alternance via les "annonces d'offres d'emplois envoyé quotidiennement par mails", hors ces annonces sont la plupart du temps réservées à une partie des élèves (en Gestion de Production notamment) envoyé seulement 1 ou 2 fois par semaine, et à partir de mars-avril il n'y a plus aucune annonce. Les autres options quant à eux peuvent se débrouiller par eux même. À savoir, cette alternance sert à couvrir le frais de dossier déjà horriblement cher (300€) ainsi que les frais de scolarité de 7500€ l'année en BTS ! Et quand les étudiants n'ont pas d'alternance, cela devient beaucoup plus compliqué financièrement. Il y a un gros manque de respect envers les étudiants qui ne sont pas écouter lorsqu'il y a des problèmes, ils sont clairement livré à eux même, comme pour la recherche d'emplois dit précédemment. La qualité des cours est discutable : ils y a en effet des bons cours avec des enseignants qualifiés et intéressants, mais il y a aussi le stricte inverse. Enfin, parlons du fameux taux de réussite qui s'approche des 100% (en Gestion de Production) comme je l'est lue dans un commentaire précédent. Toutes les options sont vraiment prise en compte dans ce pourcentage ? Il y a un nombre hallucinant d'étudiants qui partent dès la 1ère année (dont moi). C'est simple : 1 tiers de la classe partent dès le mois de décembre par manque d'alternance (à qui la faute), et un autre tiers partent à la fin de l'année par dégoût ou par redoublement. En conclusion, fuyez cette école !